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Par Anonyme, le 14.09.2025
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Par candaulistes, le 25.08.2025
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Date de création : 30.10.2014
Dernière mise à jour :
24.10.2025
1520 articles
Chaque matin, Frédérique Guay effectue encore ce qu’elle
appelle sa «revue de presse». Elle parcourt les sites des
quotidiens québécois et américains, comme elle le fait depuis
le début de sa carrière. À l’exception que le cadre est
maintenant fort différent: l’animatrice et journaliste le fait
maintenant depuis une banlieue de San Jose, où elle est
installée avec son conjoint, le défenseur des Sharks Marc-
Édouard Vlasic.
Reportage de Jessica Lapinski 11 janvier 2025
Il y a environ un an et demi, Frédérique Guay a pris la décision
d’aller s’installer en Californie, avec son copain. Sous le chaud
soleil? Non, pas vraiment. Willow Glen, cette banlieue de San Jose,
est située dans le nord de l’État. «Ce matin, je suis allée promener
mon chien, et il devait faire 3 ou 4 degrés, pointe-t-elle. Ça
boucanait quand je respirais.»
Cheffe d’antenne les week-ends en matinée à LCN, animatrice
des matchs du CF Montréal, Frédérique prenait alors un congé
sabbatique, même si ce milieu et l’adrénaline qui
l’accompagne la faisaient encore triper.
La férue de sports et d’actualité l’admet: délaisser ces longues heures de télé en direct pour une vie plus tranquille, ce ne fut pas si simple, au départ. «Je suis une workaholic! lance-t-elle. J’aime ça quand ça bouge, alors ça été un petit choc, au départ. Mais la bonne nouvelle, c’est que je peux dormir huit heures, la nuit, plutôt que trois ou quatre.»
Frédérique l’admet: sa vie tourne beaucoup autour de l’horaire de son conjoint, réglé au quart de tour comme celui de n’importe quel joueur de la LNH. Les entraînements, la sieste, les repas, bref, la routine d’avant-match.
«Je m’amuse à m’appeler sa "préposée à la sauce à spaghetti"», se moque-t-elle.
Lorsque Marc-Édouard ne joue pas – il a raté la première moitié de saison pour soigner une blessure au haut du corps –, Frédérique et lui en profitent pour visiter les alentours de San Jose, souvent en compagnie de leur chien, Piper.
La cheffe d’antenne de 39 ans a craqué pour Carmel-by-the-Sea, une plage magnifique où les compagnons à quatre pattes sont admis et libres de courir à leur guise. Un lieu paradisiaque qui vaut un détour sur Google Images, à défaut de s’offrir le billet d’avion.
Le reste du temps, son conjoint et elle aiment jouer au toc. En fait, ils sont tous deux très compétitifs, notamment l’un envers l’autre, se moque Frédérique Guay: «On joue au billard, au tennis. On est toujours dans un mode où l’un doit gagner.»
Sinon, quand les Sharks sont en déplacement, elle en profite pour voyager un peu elle aussi. Notamment en Floride, où ses parents sont installés. Ou elle fait des activités avec les autres conjointes des joueurs, qu'elle a reçues chez elle durant les Fêtes.
Et il y a, bien sûr, les soirs de match. «Je m’assois dans une section de l’aréna, assez près de la glace, toujours du côté où Marc-Édouard défend, pointe-t-elle. Je regarde chacune de ses séquences. Et dans l’auto après, on en parle.»
Dans deux matchs (probablement samedi), Vlasic foulera d’ailleurs une glace de la LNH pour un 1300e match. Un fait d’armes qui rend
sa copine «très fière».
Mais ce rôle et cette vie ne dureront pas éternellement, explique Frédérique. Les amoureux ont un plan: à la fin de la carrière de hockeyeur de Vlasic, dont le contrat avec les Sharks vient à terme à la fin de la saison 2025-2026, ils reviendront au Québec.
À ce moment, ce sera à son tour à elle de se
consacrer de nouveau à sa carrière.
Contractuellement, Frédérique Guay ne sera plus liée à TVA Sports sous peu. Mais elle souhaite demeurer fidèle à la chaîne à laquelle elle est liée depuis son lancement, il y a 12 ans.
D’ailleurs, elle a réalisé quelques mandats l’été dernier:
l’animation de l’Omnium Banque Nationale, la couverture de
l’Euro, sur place, en Allemagne. Et elle continuera de le faire,
au gré de ce qui lui sera offert.
Si la télé l’allume toujours autant, Frédérique explique avoir aussi d’autres intérêts médiatiques, comme la radio. Elle rêve de coanimer une émission dans laquelle elle pourrait toucher à tous les sujets, autant ceux d’actualité que ceux de sport. Elle aimerait même le faire tout de suite, si les moyens techniques le permettaient et que le projet l’intéressait.
Si elle doit attendre à son éventuel retour au Québec, toutefois, Marc-Édouard pourra alors devenir son préposé à la sauce à spaghetti... «Même s’il risque d’être tanné d’en manger, rendu là», blague la journaliste.
Frédérique n’est pas qu’une fille de sports. C’est aussi une passionnée d’actualité, qui rongeait un peu son frein de ne pas être derrière un micro quand Le Journal lui a parlé, lundi, le jour de la démission du premier ministre Justin Trudeau.
Mais même si elle a couvert plusieurs événements sportifs d’envergure au fil des ans, il lui en reste un sur sa bucket list: Wimbledon, le plus mythique des tournois de tennis, et le jardin de Roger Federer, un athlète pour lequel elle n’a jamais caché son attachement.
D’ailleurs, deux ans après la retraite du Maestro suisse, Frédérique Guay ne s’en cache pas: elle vit toujours un petit deuil. Même si elle ne déteste pas voir Carlos Alcaraz à l’œuvre. «C’est le seul, en ce moment, qui donne le même genre d’émotions que Federer. Qui donne l’impression que même s’il tire de l’arrière, il peut revenir, parce que c’est un combat contre lui-même.»