Gilles Trottier

                   Où s'en vont les Américains avec TRUMP ?

Article de thedailydigest.com

J.D. Vance, à la rescousse de jeunes dirigeants républicains

Le vice-président américain J.D. Vance a pris la défense d'un groupe de jeunes dirigeants républicains après la fuite d'une série de messages racistes et haineux. Il a par ailleurs déclaré que ce fâcheux incident ne devrait pas "gâcher leur vie".

Une fuite d'information

Le groupe de discussion Telegram comprenait William Hendrix, vice-président des Jeunes Républicains du Kansas, ainsi que Peter Giunta et Bobby Walker, qui occupaient, eux aussi, des fonctions similaires au s e i n du Parti de l'État de New York.

Politico a révélé l'affaire

L'affaire a été d'abord révélée par le journal Politico. Le média

a indiqué avoir examiné plus de 28 000 pages

de discussion. L'un des participants du chat

allant même jusqu'à 'plaisanter' à ce sujet : "Si

nos échanges étaient révélés, je ne donne pas

cher de notre peau".

Des propos racistes et haineux

Il y avait de bonnes raisons à cette crainte, selon l'analyse du

média : les jeunes leaders qualifiaient les

personnes noires de"singes" ou de "mangeurs

de pastèques" et qualifiaient les v io l s

"d'épiques".

Des insultes à tout-va

Les commentaires ont été présentés comme de l'humour noir, mais une analyse de Politico a conclu que le groupe avait

utilisé un total de 251 insultes, indiquant

clairement que les propos abjects étaient un

sujet récurrent dans ce chat.

L'apologie d'Hitler

Outre les insultes racistes, le groupe faisait également référence aux n a z i s à plusieurs reprises. L'un des membres du groupe aurait même dit aimer Hitler.

15 000 membres

Selon Politico, le chat de discussion est né en l'espace de sept mois alors que le groupe cherchait à prendre le contrôle de

la Young Republican National Federation – une

organisation du Parti républicain – sur une

plateforme d'extrême droite.

Des propos extrêmes

Paul Giunta, président des Jeunes

Républicains de l'État de New York, a évoqué

l'idée d'envoyer les opposants du Parti à la

"chambre à gaz".

La réaction de la Maison-Blanche

La Maison-Blanche, quant à elle, a pris ses distances avec le groupe. Paul Giunta mentionnait dans ses messages qu'il avait sollicité l'appui du président Donald Trump pour sa candidature, mais Washington a choisi de ne pas le soutenir.

La violence verbale existe aussi chez Donald Trump

Cependant, les experts ont déclaré à Politico et à NBC que la

rhétorique des jeunes dirigeants ne s'est pas

produite en vain, mais dans une culture de

vengeance et d'insultes perpétrée par Donald

Trump lui-même au s e i n du parti.

La majorité des élus républicains ont condamné fermement ces propos

Alors que la majorité des élus républicains ont fermement condamné ces propos, d'autres ont relativisé les commentaires, les comparant à des messages divulgués par Jay Jones, le candidat démocrate au poste de procureur général en Virginie.

Une controverse similaire pour le démocrate en 2022

Jay Jones est au cœur d'une controverse similaire après des messages qui ont été divulgués en 2022, dans lesquels il a déclaré que les deux principaux républicains de la

Chambre de l'État méritaient "deux balles dans

la tête", a rapporté NBC.

"Ils plaisantent"

Le vice-président J.D. Vance, quant à lui, a tenu à relativiser ces propos : "Les déclarations de Jay Jones sont bien pires que les conversations d'un groupe de jeunes dans un chat, aussi offensant soit-il", a-t-il déclaré.

"Les jeunes font des choses stupides"

Le vice-président a également déclaré que "la réalité est que les jeunes font des choses stupides, en particulier les jeunes garçons", lors de son apparition dans le Charlie Kirk Show, recueillie par NBC.

Les conséquences négatives de la politique américaine actuelle

Un représentant républicain a déclaré à NBC que, même s'il comprenait le point de vue du vice-président J.D. Vance,

l'épisode dans son ensemble montrait le côté

négatif de la politique américaine actuelle.

"On ne peut plus discuter librement"

"Il nous manque un espace sûr où tout le

monde pourrait se réunir et discuter

librement", aurait déclaré l'un des membres de

l'organisation.

Tu peux avoir des milliers de problèmes,

familiaux, professionnels, amoureux, etc. dans la vie jusqu'à

ce que tu es un problème de santé et là, tu n'en

n'as plus qu'un:

tout le reste, l'argent, les relations, le stress, s'effacent face à ça.

Soudain, les choses qui t'inquiétaient paraissent si petites parce

que plus rien ne compte quand ton corps ou ton esprit crie à l'aide.

La santé ce n'est pas juste quelque chose

qu'on possède, c'est tout.

C'est la capacité de se réveiller en se sentant vivant, de bouger

librement, de rire sans douleur, de respirer sans difficulté,

mais on la prend pour acquise, pas vraie ?, jusqu'à ce qu'elle

disparaisse.

On ne réalise pas combien elle est précieuse. Quand ta santé est

touchée, chaque petite chose devient plus difficile, les rêves

sont mis en pause, le bonheur semble loin et les couleurs de la

vie commencent à s'estomper. C'est pourquoi, prendre soin de

soi n'est pas un luxe, c'est un acte d'amour, un cadeau pour ton

futur "toi", parce qu'avec la santé tu peux affronter n'importe quoi,

sans elle, les plus petits combats paraissent impossibles.

                 N'attends pas de la perdre

             pour en comprendre la valeur,

                   apprécie-la maintenant,

               tant que tu le peux encore.

                                 Histoire de rire un peu (76)

1 - Quand j'étais jeune, j'étais pauvre. Mais après des années de

travail acharné, honnête et minutieux, je ne suis plus jeune.

2 - Le macho lors d'une soirée mondaine, s'adressant à une

demoiselle, ayant une coupe à la main: "Mademoiselle, le

champagne vous met en valeur, vous êtes bien jolie".

La dame: " Mais, je n'ai même pas pris une coupe".

Le macho: "Oui mais moi, j'en ai déjà bu 10".

3 - Quand toutes les excuses sont bonne...

Le gars chez son avocat:

L'avocat: "Pourquoi vous voulez divorcer de votre femme" ?

Le gars: "Parce qu'elle me traite comme un chien".

L'avocat: "Alors, elle vous frappe, vous maltraite" ?

Le gars: "Non, elle veut que je lui sois fidèle" !

4 - Ce qui est bien avec l'arrivée de l'automne, c'est que les

guêpes ne nous emmerdent plus quand on mange dehors.

Bon en même temps, on ne mange plus dehors.

5 - Est-ce que vous connaissez la différence entre une femme et

un terroriste ?

Avec un terroriste vous pouvez négocier !

Trump le roi — quand la promesse de dictature

devient réalité aux États-Unis

Extrait de l'article de Jacques Pj Provost, journaliste à SAVIEZ-VOUS QUE

L’autocrate qui déclare ne pas en être un

Il suffit d’écouter. Le 24 août 2025, assis dans le Bureau ovale,

Donald Trump affirme devant les caméras qu’il

n’est pas un dictateur. Bizarre, non… ?

Personne ne lui avait posé la question.

C’est lui qui ressent le besoin de se justifier, de

démentir, de nier ce que tout le monde observe

depuis son retour triomphal à la Maison-

Blanche en janvier 2025.

Quelques jours plus tôt, il a déclaré sans détour que beaucoup

d’Américains « aimeraient avoir un dictateur ». Puis il corrige —

non, il n’aime pas les dictateurs.

Lui, c’est différent : il est « doué de beaucoup de bon sens et

intelligent ». Les mots glissent. Les actions, elles, restent gravées

dans le marbre, l’or et l’ostentation. Depuis sa réélection en

novembre 2024, Trump agit comme s’il régnait sur

un empire — pas une démocratie.

Il accumule les décrets présidentiels à une cadence hallucinante,

pulvérise les contre-pouvoirs, mobilise l’armée contre des

villes démocrates et traque ses opposants politiques avec une

détermination glaçante.

Mais il refuse le titre. «Dictateur » ? Non, trop vulgaire. Il préfère

peut-être « empereur » ou « roi », comme certains chroniqueurs le

surnomment maintenant… Trump 1er, souverain

d’une présidence impériale qui écrase ce qui

reste de la Constitution américaine.

Le premier jour qui ne s’est jamais terminé

En décembre 2023, il avait promis : « Je serai un dictateur, mais

seulement le premier jour ». Ce jour-là devait suffire à tout régler —

frontière, énergie, immigration. Les démocrates avaient ri jaune.

Les républicains avaient minimisé. Maintenant, personne ne rit

plus. Le 20 janvier 2025, Trump signe 26 décrets présidentiels lors

de sa cérémonie d’investiture.

Retrait de l’Organisation mondiale de la santé,

sortie de l’accord de Paris,

abolition du droit du sol pour les enfants

d’immigrés en situation irrégulière,

grâce totale aux émeutiers du 6 janvier 2021,

désignation des cartels mexicains comme

organisations terroristes,

déclaration d’urgence nationale à la frontière,

déploiement de l’armée…

En quinze heures, Trump défait des décennies

de diplomatie, de jurisprudence et d’équilibre

institutionnel.

Mais il ne s’arrête pas là.

Entre le 20 janvier et le 5 février, il signe 55 executive orders — un

record jamais vu dans l’histoire récente des États-Unis. En

comparaison, ses prédécesseurs n’en signaient jamais plus d’une

cinquantaine durant leur première année complète de mandat.

Trump, lui, dépasse ce seuil en deux semaines. Et ce « premier

jour » ? Il dure maintenant depuis neuf mois. Parce qu’en réalité,

Trump n’a jamais eu l’intention de s’arrêter.

Il a utilisé cette promesse comme cheval de

Troie — pour normaliser l’inacceptable, pour

habituer l’Amérique à vivre sous un pouvoir

personnel débridé.

              Allégorie, nous aidant à nous rappeler...

Une fois le crayon dit à la gomme: "Merci d'être toujours là pour

moi".

La gomme sourit et répond: "C'est mon rôle. Quand tu fais une

erreur, je suis là pour l'effacer".

Le crayon baisse la tête et dit: "Chaque fois que tu m'aides, tu

perds un peu de toi, tu deviens plus petite, plus fragile".

Alors la gomme lui dit doucement: "C'est vrai, mais je préfère

m'user pour toi plutôt que de te voir garder tes fautes".

Cette histoire, c'est celle de nos parents.

Eux aussi s'effacent, petit à petit, pour nous relever, pour

corriger nos erreurs, pour nous donner une vie meilleure.

Ils vieillissent, se fatiguent mais ils le font avec le sourire

parce que leur bonheur c'est nous.

Alors, aime-les, respecte-les,

prends soin d'eux tant qu'ils

sont encore là.

      Citations, réflexions de gens plus sages que nous (20)

1 - Selon Diderot: "On avale à pleine gorgée le mensonge qui

nous flatte, et l'on boit goutte à goutte une vérité qui nous est

amère".

2 - Tellement vrai ce qu'écrivait Jean Cocteau: "On ferme les yeux

des morts avec douceur; c'est aussi avec douceur qu'il faut

ouvrir les yeux des vivants".

3 - Lao Tseu disait, en toute simplicité mais avec une grande

sagesse: "Celui qui croit en lui, n'a pas besoin de convaincre

les autres".

4 - Une vérité de Voltaire: "Les Erreurs, elles ne se regrettent

pas, elles s'assument. La Peur ne se fuit pas, elle se surmonte.

L'Amour ne se crie pas, il se prouve".

5 - Quelle profondeur d'Aldous Huxley: "Si la plupart d'entre-

nous restent ignorants de nous-mêmes, c'est parce que la

connaissance de soi est douloureuse, et que nous préférons

les plaisirs de l'illusion".

      Citations, réflexions de gens plus sages que nous (19)

1 - George Bernard Shaw écrivait: "Les humains sont comme les

livres, il y a ceux qui nous trompent avec la couverture et il y a ceux

qui nous étonnent avec le contenu.

2- Victor Hugo, sarcastique ou démontrant son humour noir: "Un

sot est un imbécile dont on voit l'orgueil à travers les trous de son

intelligence!.

3 - Une vérité profonde de Léon Tolstoï: "Si vous ressentez de la

douleur, vous êtes vivant, mais si vous ressentez la douleur des

autres, vous êtes humain".

4 - Fred Astaire (1899-1987), toujours en avance sur son temps,

avait dit, il y a plus de 40 ans: "Le plus difficile, pour les enfants

d'aujourd'hui, c'est de devoir apprendre les bonnes manières sans

les voir au quotidien".

5 - Une belle phrase de Jules Renard: "Le bonheur, c'est d'être

heureux; ce n'est pas de faire croire aux autres qu'on l'est".

                            Histoire de rire un peu (75)

1 - Deux hommes parlent sur un banc.

-- Tu ferais quoi si c'était la dernière journée avant la fin du monde ?

-- Je me taperais tout ce qui bouge, et toi ?

-- Bah, du coup, moi je ne bougerais pas !!!

2 - Une journaliste demande à un jeune:

-- "Et toi, mon grand, tu veux faire quoi plus tard dans la vie" ?

-- "Je veux être politicien" !

-- "Pourquoi" ?

-- " Pour ne pas me faire punir quand je mens" !

3 - On a tous un cordonnier parmi nos voisins ou amis... tu sais,

celui qui "semelle" de tout.

4 - On raconte que la douleur des contractions est si intense,

qu'une femme... peut presque comprendre ce que peut ressentir un

homme qui a un rhume !

5 - Je conduisais et j'ai vu le flash d'une caméra vidéo. J'ai

réalisé qu'on me prenait en photo pour excès de vitesse, même si

je savais que je n'en faisais rien.

Pour confirmer mes soupçons, j'ai fait le tour du pâté de maison,

repassant au même endroit, encore plus lentement. Mais le flash

de l'appareil a clignoté de nouveau.

J'ai trouvé ça, alors je suis repassé trois fois de plus, à une vitesse

d'escargot, souriant à l'appareil photo à chaque clic.

Deux semaines plus tard, j'ai reçu cinq contraventions pour

conduite sans ceinture de sécurité...

            Phrases ou réflexions d'auteurs inconnus #52

1 - Vos contacts, que ce soit par Facebook, au bureau, vos voisins,

vos rencontres lors de soirées diverses, ne les appelez pas tous

"amis(es), appelez-les "connaissances". L'amitié c'est autre chose.

2 - Beaucoup de gens pensent qu'être spirituel signifie être

positif, alors qu'être spirituel signifie être conscient. Pour devenir

conscient, nous devons devenir authentique. Cette authenticité

inclut, à la fois, le positif et le négatif.

3 - Les chanceux arrivent à tout, aux malchanceux tout arrive.

4 - La vie est meilleure quand on s'entoure de personnes dont la

gentillesse n'est pas une stratégie, mais un mode de vie.

5 - Un problème créé ne peut être résolu en réfléchissant de la

même manière qu'il a été créé.

Article de William Shoukri, JOURNALISTE à BIG

Trump a accidentellement publié un message

privé à la vue de tous

Un message privé destiné à l'Attorney General Pam Bondi a été

publié sur le compte Truth Social du président le 20 septembre

2025, ce qui confirme les compétences

techniques impressionnantes du président

Donald Trump ou met en évidence

l'incompétence totale de son personnel.

Surpris d'apprendre qu'il était public

Le message, dans lequel M. Trump pousse Mme Bondi à

engager des poursuites judiciaires contre ses rivaux

politiques, a refait parler de lui après que de nombreuses agences, dont NBC et le Wall Street Journal, ont rapporté que M. Trump avait voulu que le message soit privé. Le président aurait été "surpris" d'apprendre que le message était public quelques heures plus tard.

Cohérent à défaut d'autre chose

Le message de Trump montre certainement son incompétence, mais aussi les stratégies qu'il a utilisées depuis son élection.

Le message de Trump était long et faisait référence à de nombreux points de discussion qui ont peuplé la politique du GOP depuis 2016.

Un peu de namedropping

Trump cite nommément trois personnes qu'il considère comme des opposants politiques, clamant que "quelque chose doit être fait" à leur sujet:

"[c'est] la même vieille histoire que la dernière fois, que des paroles, pas d'action. Rien n'est fait. Qu'en est-il de Comey, d'Adam "Shifty" Schiff, de Leticia ??? Ils sont tous coupables, mais rien ne sera fait"

Erik Siebert

Au milieu du message, Trump mentionne Erik Siebert (sans toutefois le nommer), affirmant qu'il disposait d'un "EXCELLENT DOSSIER" pour le licencier:

"Il a même menti aux médias en disant qu'il avait démissionné et que nous n'avions pas de dossier. Non, je l'ai licencié, et il y a un CAS EXCEPTIONNEL, et de nombreux avocats et juristes le disent"

Lindsey Halligan

Il a terminé son message en mentionnant Lindsey Halligan, sa nouvelle candidate au poste de procureur pour le district Est de la Virginie. Mme Halligan n'a aucune expérience en matière de poursuites judiciaires et a été l'un des avocats personnels de M. Trump en 2022. Elle a été nommée assistante spéciale du président et secrétaire générale adjointe de la Maison-Blanche en janvier 2025, fonction qu'elle a occupée jusqu'à sa nomination en Virginie.

Les flics de Keystone

Le message a confirmé ce que beaucoup craignaient :

le cabinet de Donald Trump est défini par

l'incompétence, ponctuée et perpétrée par des

idéologies juvéniles et vindicatives projetées

par le président.

Selon le rapport de NBC, "Trump a été surpris d'apprendre qu'il avait en fait posté le message sur son compte Truth Social, le président a réagi en disant 'Oh', puis a essayé de hausser les épaules"

La fiction en miroir

Pour ceux qui ont l'habitude de regarder des fictions politiques comme "Veep", "The West Wing" et "House of Cards", ce rapport nous montre un miroir amusant de la politique américaine ; un miroir où les responsables politiques ne s'efforcent plus de manipuler leurs électeurs, mais se sentent si puissants qu'ils peuvent "se débarrasser" d'une gaffe qui serait embarrassante pour un lycéen, et encore moins pour le dirigeant du "monde libre". La seule différence avec votre œuvre de fiction préférée ?

Cette incompétence a des conséquences dans

le monde réel.

Un président totalement dépourvu de présidence

Il fut un temps où le Président se préoccupait de son image. Bien sûr, c'était à l'époque où l'Amérique était dirigée par quelqu'un qui comprenait le fonctionnement des miroirs.

Aujourd'hui, l'administration Trump semble penser qu'elle ne

peut pas faire de mal, mentant sans vergogne à la presse, aux

médias sociaux et à ses propres rapports. En outre,

l'administration Trump s'efforce activement de réduire au

silence les médias institutionnels en les discréditant,

perpétuant ainsi une rivière de désinformation dans laquelle

les électeurs américains pataugent.

L'Amérique de Trump

Il en résulte un écosystème dans lequel les

électeurs manquent d'air et d'informations, car

ils sont induits en erreur par un gouvernement

qui ne cherche qu'à s'enrichir.